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Guitar Hero, Star Wars, and more for BlackBerry
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mardi, septembre 29, 2009

Semaine customisation au Studio SFR





Le flyer à présenter au studio SFR pour gagner une customisation de son téléphone mobile:

Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

Source SFR.

Google Latitude sur mobile


Google Latitude vous permet de localiser vos amis sur une carte. Téléchargez cette application sur votre téléphone ou sur votre ordinateur...

Google Latitude mobile en vidéo:




Source Google.

mercredi, septembre 23, 2009

HTC Magic Android avec SFR

Source Google

mercredi, septembre 16, 2009

Did you know 4.0 ?

Une excellente vidéo résumant les bouleversements du monde des médias ces dernières années... (pour ne pas dire derniers mois car tout va si vite...)





Source Media Convergence Forum.

Motorola’s new UI for Android, Moto BLUR





Le retour de Motorola...avec la technologie Google...?

Source Motorola.

mercredi, septembre 09, 2009

Lancement de Mobile en France


J'ai le plaisir de vous annoncer le lancement de Mobile en France, un blog dont l'objectif est de traiter des projets "mobilités" en profondeur et de donner la parole aux acteurs qui constituent ce secteur dans notre pays.

Avec mon ami Denis Verloes qui a déjà quelques années d'expérience dans le domaine, nous allons faire le tour de différents sujets télécoms à travers des entretiens, des reportages et des analyses pour que les professionnels et les non-initiés puissent partager des expériences et des connaissances.

Le site est encore en bêta, il sort d'un petit garage...mais l'idée est bien là. Déjà quelques billets, un groupe facebook en formation et un réseau de professionnels qui connait déjà un certain succès... voilà la galaxie qui s'étoffe autour du site.

My mobiBlog ne s'arrête pas. Ce site garde toujours sa vocation, à savoir faire partager une actualité, une opinion ou des connaissances autour de l'univers des télécoms mobiles au niveau mondial. Sa ligne éditoriale est assez simple, parler de mobilité au sein d'une communauté de gens qui y trouvent un intérêt... Il se veut indépendant et assure toujours sa mission de veille sectorielle.

Certains de mes billets seront publiés sur Mobile en France, du moins ceux qui parlent de sujets qui couvrent la France.
Ce choix éditorial est pour nous crucial car il apparait évident que la mobilité va révolutionner le monde des communications et notre rapport au monde....comme la télévision en son temps mais à la différence que le pouvoir d'interactivité va être sans comparaison.

Bref, conscient des mutations qui pointent chaque jour un plus le bout de leur nez, il nous a paru intéressant d'évangéliser un public un peu plus large afin de faire comprendre, d'enrichir nos discours, de dépasser les aspects techniques/marketing ou encore partisans, d'ouvrir le champs des possibilités, de parler de vos projets, d'imaginer le futur de la mobilité...avec un regard de professionnels avertis et animés d'une certaine passion.

Il y a tant de choses à faire, le travail ne manque pas. Le temps dira si nous sommes capables d'assurer cet objectif.

Aussi, nous espérons garder un rythme de publication convenable et une qualité de propos pertinente afin d'être convaincants, attractifs et intéressants.

Bonne lecture ;)

Appli embarquée ou service mobile – Partie 2: Le jeu des différences

Après avoir défini ce que sont les applications et les services mobiles, nous allons analyser les avantages et inconvénients de chacun afin que les non-initiés puissent se faire une opinion objective.

Pour commencer à différencier une application mobile d’un site mobile, il convient par exemple de comparer :

  • le service mobile iPhone et l’application iPhone Facebook,
  • le service mobile iPhone et l’application iPhone Gmail.

Dans le premier cas, l’application est tellement bien réalisée que la Web App iPhone de Facebook n’est plus tellement attractive.

Dans le second cas, la Web App Gmail est tellement plus riche, plus simple d’utilisation et plus ergonomique que l’application iPhone Gmail devient pour le moment moins attractive.

Ces jugements qui peuvent paraitre subjectifs, montrent néanmoins qu’il n’y pas une supériorité définitive de l’application sur le service mobile et inversement.

En effet, c’est souvent en fonction du contexte fonctionnel du projet, de la cible souhaitée, des coûts de réalisations, etc. que le développement est orienté vers l’application embarquée ou le service mobile.

Comme cela été évoqué précédemment, l’application est réalisée dans un langage de programmation (Objective C pour iPhone, J2ME pour terminaux supportant Java, etc.) alors qu’un service mobile est réalisé avec des langages issus des familles HTML / JavaScript. Il est facile de constater à ce niveau que la tendance est au rapprochement à grande vitesse des technologies Web / Web mobile.

Le service mobile à l’avantage “d’être plus facilement compatible” avec un parc conséquent de terminaux. Il est par ailleurs encore plus aisé de faire des modifications sur un site mobile que sur une application.

Pour bien marquer les différences entre ces deux notions voici quelques points clés de comparaison :

• Portabilité : le service mobile l’emporte s’il est réalisé/hébergé sur une plate-forme capable de gérer l’adaptation à un parc de terminaux indépendamment de l’hétérogénéité des environnements technologies mobiles (OS mobiles). L’application mobile peut être compatible avec un seul ou plusieurs environnements. Dans le second cas, il y a de fortes probabilités de recoder l’application et parfois dans différents langages de programmation. Il est toutefois possible de se limiter qu’à un seul environnement : exemple appli iPhone ou appli Androïd ou appli Windows Mobile, etc.

=>Avantage pour le service mobile

• Développement/ Coût : une application semble encore plus longue à développer avec les outils actuels (cela risque de ne pas durer peut-être) qu’un service mobile qui utilise de plus en plus les standards du web.

=>Avantage pour le service mobile

• Maîtrise et réactivité de la mise en ligne : un service mobile peut être hébergé comme n’importe quel site Web. La seule différence réside dans la compatibilité du service avec les multiples navigateurs Internet équipant les terminaux mobiles.
Aussi, il est souvent conseillé de réaliser un service mobile au sein d’un environnement capable de gérer automatiquement la détection d’un terminal et de lui fournir les pages et contenus adaptés. Cet environnement peut être une plateforme de services mobiles.
Le service mobile offre une grande souplesse dans sa gestion puisque comme un site Web, un CMS (Content Management System) suffit à l’animation du service (Ajout d’images, gestions éditoriales, mise en avant, etc.)
Au-delà, la mise en ligne et les modifications opérées sur un site mobile ne sont pas obligatoirement soumises à une validation d’un tiers modérateur. Ceci est à relativiser dans le cas où le service doit être référencé sur un kiosque de services comme Gallery, Plazza ou autres. Dans ce cas précis, les opérateurs de télécom, propriétaires de ces kiosques, demandent en effet, le respect de différentes chartes graphiques ou déontologiques.
Toutefois, la politique éditoriale d’un site mobile sera beaucoup plus libre que celle d’une application embarquée validée par un tiers pour être disponible sur un App Store. La politique d’Apple en est le parfait exemple.

=>Avantage pour le service mobile
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• Accessibilité : il s’agit d’un problème de communication et d’usage principalement. En effet, pour accéder à un service mobile, il est nécessaire d’avoir l’url du service sur son téléphone mobile (enregistrée sous forme de signet dans les favoris du téléphone) ou de faire une recherche sur les moteurs de recherche de l’Internet mobile (Gallery, Google mobile, Yahoo mobile, Bing, etc) pour peu qu’il soit bien référencé.
Pour une application embarquée, il est nécessaire de télécharger l’application compatible avec son téléphone mobile et de l’installer. Évidemment sur l’iPhone ou les Google Phones HTC, ce mécanisme a été simplifié.
D’une manière générale, l’utilisateur utilise les Apps Store pour trouver une application, la télécharger et faire apparaître une petite icône représentative de l’appli sur le tableaux de bord du téléphone mobile.
Cependant les Apps Store sont victimes de leurs succès et il devient difficile de pratiquer une politique de référencement sur ces boutiques offrant des milliers de logiciels de toutes sortes. Pour être accessible, il faut être vu et donc pratiquer des buzz médiatiques et/ou faire de la publicité sur des mobile adserver, etc.
Aussi et bien qu’il y ait eu beaucoup d’efforts effectués dans le domaine des applications embarquées, il reste plus facile d’accéder à un service mobile. Cela reste effectivement proche des cas d’utilisation du Web : utilisation de moteur de recherche, ajout de favoris, référencement par Google/Yahoo et consœurs.

=>Avantage pour le service mobile.

• Utilisation en mode connecté/déconnecté :
le gros avantage d’une application mobile est son usage en mode déconnecté. Les jeux sur mobile sont un parfait exemple de cas d’utilisation. Peu de jeux sur mobile permettent encore de jouer en réseau.
Un service mobile ne peut pas être accessible s’il n’a pas d’accès au réseau Internet (mode déconnecté) à partir du téléphone mobile.
Certains expliqueront qu’avec un site mobile de type Web App et en mode déconnecté, il est possible d’utiliser des fonctionnalités du site mobile en s’appuyant sur le cache du navigateur du téléphone. Il est vrai que l’on peut « bricoler » quelques astuces mais à dire vrai ce n’est pas une véritable solution.
Bref une appli mobile peut être utilisée en mode connecté et déconnecté si cela est nécessaire et s’il y a des fonctionnalités qui le permettent.
Un service mobile ne peut être accessible et utilisable qu’à partir du moment où il y a un accès (2G/3G, Wifi) à Internet à partir du téléphone mobile.

=>Avantages pour l’application embarquée.

• Les effets Waouh: il s’agit en fait de la capacité d’un service mobile ou d’une application embarquée de surprendre son utilisateur par des effets visuels ou d’usages.
Avec l’arrivée des téléphones équipés d’écrans tactiles et la révolution des usages de nouveaux effets sont apparus.
La mise à disposition de boites à outils (Software Development Kit) permettant d’interagir avec les fonctionnalités des téléphones mobiles, a par ailleurs favorisé l’utilisation de ces effets au sein des applications embarquées.
Parmi les effets, nous pouvons parler de la 3D, de la réalité augmentée, de l’effet Shake (secouer), Tilt (basculement mode paysage), du glisser/déposer, du pointer, du slideshow (cf. présentation pochettes albums sur iTunes), etc.
Il est effectivement possible de faire quelques effets sympa sur un site mobile de type Web App pour les téléphones Web Phones (iPhone, Google Phones, etc.)
Cependant les applications embarquées peuvent intégrer toutes les possibilités natives offertes par les systèmes d’exploitation des terminaux (la 3D et la réalité augmentée par exemple).
Aussi, les effets Waouh sont durablement plus spectaculaires sur une application embarquée.

=>Avantages pour l’application embarquée.

• Utilisation des fonctionnalités du téléphone: Avec la mise à disposition des SDK, il est plus facile pour un développeur d’application embarquée de faire appel aux fonctionnalités natives du téléphone mobile.
Il y a effectivement quelques progrès du coté de la mise au point des Web Apps pour interagir avec les composants du téléphones mais cela reste encore (et pour le moment) incomparable avec les possibilités d’intégration d’une application mobile.

=>Avantage pour l’application embarquée.

• Relation avec les clients : Le service mobile a l’avantage d’être facilement accessible par une grande majorité de terminaux mobiles. Si par exemple, vous réalisez une campagne SMS avec un lien cliquable pointant sur le service, il sera facile de générer de l’audience. Ce type de communication directe doit néanmoins être utilisée avec modération car la pratique pourrait s’apparenter à du spam pour les principaux destinataires.
Toutefois, l’application mobile présente un avantage car sur certains terminaux, il est par exemple possible de notifier/réveiller à distance une appli installée sur un téléphone mobile (le Push). Cette fonctionnalité permet d’avertir l’utilisateur d’une mise à jour d’une manière simple et discrète.

=>Avantage pour l’application embarquée.

• Billing : Il est possible d’ajouter des modules de paiement sur un service mobile afin de monétiser des contenus multimédias ou encore des services premium:

  • pour de petits montants, paiement via les kits de billing des opérateurs (Orange Wh-a, SFR, Bouygues Telecom, etc.) pour un service mobile rattaché à un portail opérateur ou un kiosque des services (Gallery, Plazzza),
  • paiement via Carte Bancaire via un Web Service proposé par le commerçant propriétaire du service m-commerce,
  • paiement par Carte Bancaire via des facilitateurs de paiement (PayBox, Payline, etc.),
  • paiement via un compte de paiement (Paypal, Google Check out, etc.).

Sur les applications mobiles, les solutions sont encore (pour le moment) à leurs balbutiements. En effet, même si Apple a annoncé qu’il serait possible de réaliser des micro-transactions au sein même d’une application, ces mécanismes restent limités.
Il est cependant possible de facturer le téléchargement d’une application à partir d’un service mobile ou d’un quelconque App Store digne de ce nom.
Par ailleurs, il est important d’étudier les commissionnements exigés du fait de l’utilisation de ces solutions de paiement :

  • pour les kits de paiement des opérateurs de télécom : 30% pour l’éditeur, 70% pour l’opérateur,
  • pour l’utilisation de facilitateurs de paiement : quelques centimes par transaction et un coût mensuel variable calculé sur le CA réalisé,
  • pour l’utilisation du système de micro-transaction ou de facturation d’applications via Apple : 70% pour l’éditeur, 30% pour Apple.

Au regard de ces informations, il est facile de comprendre que la “monétisation” d’un service mobile reste intéressante bien que les réticences des utilisateurs à payer sur un service mobile constituent encore un obstacle non négligeable.

=>Avantage pour le service mobile.

Conclusion:

Cette petite étude ne prétend pas être exhaustive tant les critères d’analyse peuvent être nombreux.
Pour résumé, il est indispensable avant de se lancer à la conquête du mobile de se poser quelques questions sur les cibles que l’on souhaite adresser avec un service mobile ou une application mobile.
Le service mobile peut facilement concerner une grande partie d’un parc de téléphones en étant bien conçu et simple d’utilisation. La rapidité de sa mise œuvre et sa gestion au quotidien, permettent de bien débuter sur ce canal de communication.
Une application mobile confère une image différente, plus classieuse. Elle constitue une belle vitrine pour la marque qui choisit ce type de support. Toutefois, une application devra cibler une niche restreinte car le portage de ce petit logiciel sur différentes plateformes mobiles peut devenir dans beaucoup de cas, onéreux.

Nokia:« Nous devons proposer d'autres appareils à écran tactile »

Interview - Le PDG du premier fabricant mondial de téléphones mobiles M. Olli-Pekka Kallasvuo précise sa stratégie. Lors de la quatorzième édition de Nokia World, la réunion annuelle du groupe finlandais avec les analystes financiers et ses clients, Nokia a dévoilé de ­nouveaux téléphones à écrans ­tactiles.

Le Figaro. - Nokia est-il plus modeste que par le passé, face aux succès d'Apple et de Google ?
Olli-Pekka Kallasvuo. - Si vous regardez la situation dans les services, nous avons acquis de nombreuses entreprises depuis 2008. Ainsi, nous avons créé un large portefeuille d'actifs, notamment avec Louddeye dans la musique et Gate 5 dans la cartographie. Nous avons pris du temps pour bâtir une proposition commerciale cohérente. Nous avons dû nous concentrer sur une architecture commune, associer ces différents éléments et avoir une offre dans les réseaux sociaux. Ce travail se poursuit depuis dix-huit mois, nous voyons aujourd'hui le résultat de cet objectif. Notre message principal est que le travail que nous avons réalisé dans l'architecture et l'agrégation de notre offre de services commence enfin à éclore. Ainsi, nous avons peut-être parlé trop tôt par le passé. Nous avons créé des attentes des consommateurs qui espéraient les produits dans des délais beaucoup plus courts.

Notamment pour votre portail d'Internet mobile Ovi, qui agrège vos services ?
Oui. Du point de vue des consommateurs, nous aurions dû annoncer ce service quelques mois plus tard. Ovi propose 5 000 applications contre 65 000 pour AppStore d'Apple. Apple revendique plus de 1,5 milliard de téléchargements en un an. Et vous ?J'ai un chiffre que je ne peux pas encore vous communiquer. Nous avons déjà 55 millions d'utilisateurs actifs à notre portail Ovi Store, nous espérons en avoir 80 millions à la fin de l'année et 300 millions avant la fin 2012.

Vous êtes parti en retard sur les écrans tactiles. Désormais, votre gamme comporte 6 téléphones X6, le N97 mini et le 5230 annoncés hier. Est-ce la tendance ?
En effet, nous devons proposer d'autres appareils à écran tactile. Ce qu'il y a de très intéressant à ce propos, c'est que dans la rue, en marchant, les gens ne placent plus leur téléphone mobile à leur oreille mais le regardent le plus souvent et tapent sur l'écran ! Ce changement de comportement témoigne du fait que nous changeons d'univers.

Combien avez-vous investi dans les services, en incluant le spécialiste américain des cartes numériques, Navteq, acquis 5,7 milliards d'euros ?
Navteq est une division à part entière de Nokia. C'est l'un de nos actifs que nous exploitons dans Ovi. Car d'autres entreprises peuvent utiliser nos cartes. Cela étant dit, nous avons actuellement 3 000 personnes qui travaillent dans notre division dans les services. Et l'ancienneté moyenne de ces effectifs dans le groupe est seulement de deux ans. Il s'agit d'une nouvelle équipe qui nous aide à créer de nouvelles opportunités.

Pourquoi avoir créé la division « solution » ? Est-ce pour améliorer les coopérations entre vos téléphones mobiles et vos services ?
Oui, en effet, nous avons créé une division appelée « solution », qui coordonne la gestion et la date de sortie des produits et des services. Cette nouvelle entité aura donc un impact sur nos deux principales divisions, celle dans les mobiles et celle dans les services. Par ailleurs, nous allons donner, à l'avenir, davantage d'informations, sur nos téléphones mobiles d'un côté et de l'autre les « smartphones ». Car les dynamiques de ces marchés sont différentes. Dans les produits, nous avons, de plus, notre nouveau PC portable, le Nokia Booklet 3G. De plus en plus souvent, il faut intégrer des services, sans couture, dans les appareils, qui soient simples d'usage. Cela peut sembler une tâche triviale. Mais ce n'est pas si simple du point de vue du consommateur final.

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Source Lefigaro.fr

mercredi, septembre 02, 2009

Univers mobile: qui imposera sa technologie?

Pour rebondir sur l’analyse d’Etienne Bureau concernant l’hétérogénéité de l’univers mobile, il est peut être intéressant d’observer la recomposition des télécoms mobiles pour comprendre l’incroyable diversité technologique et les avantages que peuvent en tirer les utilisateurs.

Effectivement, chaque acteur met en place sa plateforme de développement et ses offres de services multimédia (leur App Store, leur iTunes, etc.) autour de lancement de nouveaux terminaux.

Ceci est finalement une bonne chose pour les utilisateurs car les constructeurs repoussent chaque jour les défis techniques de leurs produits. Toutefois, combien de constructeurs de téléphones (ou d'acteurs de la téléphonie mobile) seront capables de maintenir cette cadence infernale du toujours plus ?

  • Apple, Nokia, RIM, (voire Palm) font le pari d'être à la fois constructeurs, fournisseurs de services multimédia, d’un OS et d'une plateforme de développement.
  • Microsoft, Google et d'autres "ne disposent que" de leur OS et de leur plateforme de développement avec quelques services à valeurs ajoutées. Pour le moment, ils s'appuient sur des partenaires pour diffuser des terminaux supportant leurs logiciels
  • Les autres constructeurs essaient de suivre tant bien que mal en allant au delà de leur métier de base ou en nouant des partenariats avec les marques précitées.

Aussi la question qui se pose est : est-ce que tous les acteurs peuvent se permettre d'offrir des services et des technologies différentes en suscitant de vrais engouements auprès des utilisateurs ou des communautés de développeurs ?

Il probable que non car la différenciation et l’indépendance technologique risquent de coûter cher. Il devient difficile de se distinguer des marques dominantes dans ce domaine.

Finalement, il est possible que 3 ou 4 acteurs puissent se partager les plus grosses parts de marché des utilisateurs de Smartphones. En ce moment, Apple imprime le rythme des changements dans cette industrie sans pour autant dominer l’ensemble du parc.

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