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lundi, août 24, 2009

Palm Pre au Royaume Uni, en Allemagne, en Espagne...mais pas en France !

Alors que la presse américaine et les sites spécialisés dans la High Tech se posent des questions vis à vis de la stratégie commerciale de Palm autour de son téléphone mobile Palm Pré, le constructeur tente de répondre.

Il est vrai que cet appareil, véritable bijoux technologique concentre beaucoup de qualités qui font dire à certains experts qu’il pourrait bien être le vrai rival de l’iPhone d’Apple.

Toutefois, bien que le démarrage des ventes ait connu un vrai succès au États-Unis (100 000 terminaux écoulés en quelques jours), on reste particulièrement étonné de la poussive montée en puissance des services multimédias depuis le lancement du téléphone et de la faible diffusion commerciale actuelle : le Palm Pré est en vente uniquement outre-Atlantique.

Il faut se rappeler que le constructeur Palm a énormément investi dans ce projet qui doit lui permettre de sortir d’une situation extrêmement délicate tant au niveau financier qu’au niveau du positionnement de ses produits de type SmartPhones.

Des analystes reprochent ainsi à la firme américaine de trop tarder dans son offensive commerciale. Palm a donc répondu dernièrement à ses détracteurs en signant des accords de distribution en Europe de l’Ouest avec des poids lourds des télécoms.

Ainsi, les opérateurs de télécom O2 et Movistar (filiales de Telefonica) ont obtenu les droits de distribuer le Palm Pré à l’automne prochain:

  • O2 en Grande-Bretagne, Irlande et Allemagne,
  • Movistar en Espagne.

La France reste apparemment absente des nouvelles ambitions du constructeur, à moins que les négociations avec Orange et SFR soient en cours ou que ces derniers soient trop occupés à écouler des iPhones d’Apple ou des Google Phones HTC. Le mystère reste entier.

Enfin, Palm a récemment annoncé le lancement de Mojo, le SDK (Software Development Kit) de WebOS qui était tant attendu par la communauté des développeurs.

Palm l’avait promis pour la fin de l’été mais apparemment le planning s’est accéléré peut être suite aux différentes remarques soulevées par la presse spécialisée.

Le constructeur a fait un effort certain en rendant le SDK disponible sur les plateformes Windows, MacOsX et Linux. Rendez-vous ici pour en savoir un peu plus: http://developer.palm.com

Des conseils pour développer des applications, vous sont fournis comme par exemple l’installation du plugin Eclipse pour les connaisseurs…Quelques détails sur le navigateur Internet intégré dans le Palm Pre sont par ailleurs utiles pour produire des Web Apps; des services mobiles adaptés pour ce terminal.

L’objectif du SDK WebOS est de permettre à la communauté des développeurs (amateurs et professionnels) de fournir des applications qui pourront être commercialisées à travers l’App Catalog de Palm.

Le système de rétribution adopté par la marque est identique à celui d’Apple: 30% de commission pour Palm et 70% pour le développeur bien que la mise en ligne d’application payante ne sera possible qu’à la mi-septembre.

A ce jour une dizaine d’applications sont disponibles sur le catalogue proposé sur le Palm Pre. Reste à savoir si les éditeurs de jeux vidéos comme le français Gameloft ou encore Electronic Art vont se précipiter sur cette plateforme pour porter les titres développés sur l’iPhone vers le Palm Pre. En général, il donne la tendance sur l’intérêt ou non de la plateforme de développement.

Il semblerait que pour l’instant le SDK proposé ne soit assez puissant pour profiter des capacités de l’appareil.Que cela ne tienne, ce problème devrait être résolu dans les prochaines mises à jour.

Bien qu’il y ait beaucoup d’attente concernant un positionnement de Palm comme grand rival de l’iPhone d’Apple, je reste néanmoins attentif et curieux de connaitre les partenaires qui apporteront des services de hautes qualités (musiques, cinéma,…) pour enrichir l’éventail des possibilités du Palm Pre.

On sait déjà que le Palm Pre pourra se synchroniser avec iTunes et que le moteur de recherche Google, Youtube, ainsi que les applications Google Voice, Google Maps seront sur le téléphone… de là à en tirer des conclusions hâtives…

A suivre.

Publié le 21/08/09 sur mobileenfrance.com

samedi, août 22, 2009

Appli embarquée ou service mobile – Partie 1: Définitions

Si vous ne savez pas très bien quelle est la différence entre les deux voici quelques éléments pour vous permettre de comprendre ces notions :

-Définition d’une application embarquée :

Une application embarquée est un logiciel qui se télécharge et s’exécute sur un appareil électronique mobile comme par exemple un téléphone portable.

Ce petit logiciel s’appuie d’une manière générale sur le principe de widgets que nous connaissons sur nos ordinateurs.

Pour télécharger une application sur un téléphone mobile, il existe différentes possibilités:

  • transfert depuis un ordinateur via un câble de connexion,
  • à partir d’un service mobile,
  • via une boutique logicielle accessible depuis un téléphone mobile (App Store d’Apple, Windows Market Place, Nokia OVI, Android Market, etc.)
  • le cas échéant l’application est dite native ; elle est déjà dans le téléphone lors de l’achat du téléphone (l’opérateur ou le fabricant l’a ajouté comme fonction de base)
Une application embarquée est réalisée à partir de différents langages de programmation car il existe des environnements très hétérogènes au niveau des plateformes (les OS mobiles) installées sur les téléphones portables.

Aussi une application réalisée dans une technologie n’est pas nécessairement compatible avec toutes les plateformes (c’est d’ailleurs impossible). On parle alors de portabilité et de compatibilité de l’application avec le parc de téléphones que l’on trouve sur le marché mondial.

Les applications pour mobiles existent depuis l’apparition des téléphones portables.

Certaines sont de types professionnelles et d’autres orientées divertissement. Nous connaissons ces dernières à travers les jeux mobiles, un marché très important en termes de volumes et de titres de jeux vidéo adaptés pour les terminaux mobiles. Gameloft, société française issue d’Ubisoft, IPlay, Electronic Art sont les principaux éditeurs de la planète.

Toutefois, l’iPhone d’Apple a considérablement dépoussiéré l’image de l’application embarquée au point que beaucoup de développeurs, d’entreprises et les concurrents d’Apple s’intéressent de nouveau au phénomène. Les raisons principales du succès sont :
  • la mise en place d’une boite à outil de codage d’application relativement simple et financièrement accessible,
  • la diffusion mondiale d’un terminal ergonomique et puissant (puissance > à une console de type Nintendo DS),
  • un rendu très sympa,
  • une diffusion des applications facilitées via une seule et même boutique l’App Store,
  • un partage des revenus en faveur du créateur,
  • une bonne image d’Apple (ils sont bons sur le savoir-faire et surtout sur le faire-savoir),
  • etc.
-Définition d’un service mobile ou Web App:

Le vocabulaire Web App est apparu avec la sortie de nouveaux terminaux de type Web Phone comme les séries iPhone ou encore Google Phone pour ne citer que les plus connus du marché.

On parle de Web Phones car ces téléphones mobiles embarquent en leur sein des navigateurs Internet capables de supporter des technologies Web : Javascript, Ajax, etc.webapp

Ces navigateurs permettent ainsi de surfer sur le Web à travers un petit écran. Les sites Web ne sont toutefois pas si facilement visibles et ergonomiques sur ces terminaux.

Aussi, pour améliorer l’expérience de l’utilisateur par rapport à l’accès à l’Internet via ces téléphones, quelques acteurs ont inventé la notion de Web Mobile.

L’objectif est que le Web vienne sur le mobile alors que jusqu’à présent l’hétérogénéité des technologies de l’internet mobile conduisait à faire l’inverse.

Le Web Mobile s’appuie sur la capacité des navigateurs des Web Phones pour proposer des versions adaptées de sites Web pour ces téléphones.

Le but est de présenter l’information et de mettre en avant certaines fonctionnalités d’un site Web par exemple, afin qu’elles soient facilement utilisables en situation de mobilité avec un petit appareil électronique.

Parmi ces navigateurs mobiles, citons Safari sur iPhone, MiniMap sur Nokia, le navigateur mobile d’Android, etc.

Ces navigateurs mobiles ou leurs versions Web intègrent un moteur de rendu commun : WebKit. Ce moteur de rendu respecte des standards et normes définies dans les technologies Web.

Le développement et la compatibilité d’une Web App avec les différents navigateurs mobiles est facilité par le respect de ces normes.

A ce stade, il devient plus facile de comprendre qu’une Web App est une sorte d’application qui s’exécute au sein d’un navigateur mobile qui fait office de conteneur. On parle d’ailleurs pour bien simplifié la vie des non-initiés “d’appli browsée” ou de Web Application, en définitive de Web App.

Au-delà, le Web Mobile comme les applications embarquées subissent l’influence de la redéfinition des usages proposés par les téléphones mobiles ayant des écrans tactiles et capables de gérer des évènements liés aux interactions Homme-Machine : cliquer, glisser, double cliquer, pointer, secouer, tourner, parler, etc.

Ces nouvelles façons d’interagir avec un appareil ont un impact sur la possibilité de naviguer sur le Web Mobile. Finalement, Internet est accessible sans utiliser de clavier ou de souris et sans que cela ne nuise à la navigabilité au sein d’un service.

A travers l’ergonomie et les fonctionnalités supportées par les OS et les navigateurs des Web Phones, il est possible de modifier l’expérience des utilisateurs dans leur rapport à l’Internet en situation de mobilité.

Ainsi dans une Web App, il est possible de faire appel à des technologies du Web pour enrichir les possibilités d’un service mobile et d’utiliser si le Web Phone le permet, la gestion des évènements comme d’un écran tactile pour révolutionner les usages.

Pour les Web& Mobile Agencies, il devient plus intéressant de parler de Web App aujourd’hui car cela fait plus tendance, plus glamour de présenter un site mobile attractif visuellement et fonctionnellement.

Une Web App est un service mobile plus évolué. Il est vrai que le terme de site mobile souffre d’une mauvaise connotation dans le secteur. Cela rappelle sans doute trop l’époque du site mobile WAP (XHTML/WML) ou i-Mode (CHTML) peu engageant ou de qualité médiocre.

Bien que les Web Apps soient en vogue, il n’en reste pas moins que les terminaux Web Phones sont encore loin de constituer la majorité des téléphones mobiles du marché mondial.

Il est vrai que les fabricants de terminaux s’orientent vers ce type d’appareils pour leurs futures générations de produits. Pour une grande majorité de téléphones mobiles et des navigateurs mobiles embarqués, il n’est pas possible de profiter des technologies Web ou encore de la révolution des usages que nous connaissons tous.

Ainsi, nous assistons à une forte segmentation du marché à ce niveau :
  • Site mobile de type Web Apps pour les terminaux Web Phones qui participent à l’augmentation des usages du Web Mobile,
  • Site mobile classique XHTML pour les terminaux haut et moyen de gamme,
  • Site mobile basique WML pour les terminaux bas de gammes.
A ce jour les Web Phones ne concernent qu’une vingtaine de modèles de terminaux dans le monde et devraient sauf rupture technologique majeure, continuer de croitre dans les mois à venir.

Ce qu’il est important de garder à l’esprit est qu’un service mobile est un site adapté à un terminal mobile et qu’il est accessible depuis un navigateur d’un téléphone portable disposant d’une connexion internet. Cette définition marque l’opposition à l’application embarquée.

Maintenant que les idées sont claires, il devient plus facile d’aborder le sujet concernant les avantages et les inconvénients entre une application embarquée et un service mobile.

Nous aborderons ce point dans un prochain billet.

Publié le 18 août 2009 sur mobileenfrance.com

dimanche, août 16, 2009

Interview de Laurent Lathieyre, le co-fondateur d’Ubikod

Le site des entrepreneurs de l'Essec, Go2market interview Laurent Lathieyre, le co-fondateur de la société Ubikod. Ce dernier nous explique les différences entre le système d’exploitation pour mobile Android de Google et l'OS de l’iPhone, les enjeux du développement sur ces plateformes et la stratégie de Google autour de la publicité,...

Que dire si ce n'est que je suis d'accord avec ce discours clair et pédagogique pour les non-initiés.




Source Go2market.

samedi, août 15, 2009

Coup d’envoi de la Ligue 1 sur iPhone en exclusivité avec Orange

La Ligue 1® en direct pour la première fois sur iPhone 3G/3GS

L’application officielle Ligue 1® pour iPhone à télécharger dès aujourd’hui
Le championnat à la carte ou en illimité

La Ligue 1® en direct pour la première fois sur iPhone 3G/3GS avec Orange

Les clients mobile Orange, en France métropolitaine, pourront ainsi suivre le meilleur du championnat sur iPhone 3G/3GS :


8 matchs en direct et en intégralité par journée de championnat, avec de grandes affiches : PSG-Le Mans (15/08), Auxerre-Lyon (22/08)…
Les buts de tous les matchs repris en vidéo et à voir pendant les directs
Le "minute par minute" : l’info en temps réel des 10 matchs
Les "alertes buts", pour suivre l’évolution des scores sur tous les stades
Le "best of" de la journée, à voir en résumé vidéo, dès le lundi matin
Le calendrier, les feuilles de matchs, les scores, les statistiques, le classement
Tous les résumés de match en vidéo, accessibles pendant une semaine
Le journal du foot : l’écho des autres championnats européens

La Ligue 1®, optimisée pour iPhone 3G/3GS, en plein écran et en qualité TV Haute Définition mobile c’est seulement chez Orange sur son réseau mobile 3G+ et prochainement également en Wifi.

L’application officielle Ligue 1® pour iPhone en exclusivité chez Orange

L’application Ligue 1®, développée par Orange, est l’unique moyen d’accéder, à la carte ou en illimité, aux matchs en direct sur iPhone 3G/3GS. Grâce à cette application, l’utilisateur bénéficie d’un accès direct au multiplex et peut suivre l’ensemble des rencontres en direct.

L’application Ligue 1® est gratuite. Pour la télécharger, il suffit de se rendre dans la catégorie "Sports" de l’AppStore, depuis son iPhone 3G/3GS. Télécharger depuis un PC ou un Mac est également possible depuis son compte iTunes. Dans ce cas, l’application sera automatiquement installée sur l’iPhone à la prochaine synchronisation.

Les clients disposant de l’offre "Origami édition spéciale pour iPhone", bénéficient d’un accès illimité à la Ligue1®. Pour les autres clients mobile Orange qui souhaitent accéder à la Ligue1® en illimité, il suffit de souscrire l’option "Orange foot" ou "TV max" :

Orange foot* (6€/mois, sans engagement de durée) : 8 matchs de Ligue 1® en direct et en HD mobile, le meilleur du championnat, tous les services proposés par l’application Ligue 1®, la navigation en illimité sur Orange World, les alertes buts et les alertes vidéo par SMS.
L’option Orange foot est proposée à 3€/mois pendant 2 mois pour toute nouvelle souscription jusqu’au 30 septembre 2009.


TV max* (9€/mois, sans engagement de durée) : plus de 60 chaînes en HD mobile, 3 500 VoD, 8 matchs de Ligue 1® en direct et en HD mobile, le meilleur du championnat, tous les services proposés par l’application Ligue 1® et la navigation en illimité sur Orange World.

Pour souscrire l’option "Orange foot" ou "TV max", il suffit de se connecter sur iphone.orange.fr, appeler le service client au 700 (depuis son mobile) ou se rendre dans une boutique Orange. Les clients préférant un usage "à la carte" seront facturés à la durée : 50 centimes la session de 20 minutes pour les forfaits et forfaits bloqués.

Pour éviter tout dépassement de facture excessif, Orange bloque l’accès aux contenus vidéos pour les clients dont les usages data sont facturés au volume (ko).

Source Orange.

lundi, août 03, 2009

Les projets mobiles Accorhotels.com

Cet été, Gallery a le grand plaisir d'accueillir le service "accorhotels" du groupe Accor, leader européen dans l'univers de hôtellerie et du tourisme et leader mondial dans les services aux entreprises et collectivités. Avec l'Internet mobile, le groupe met au service des mobinautes plus de 40 ans de savoir faire.

Rencontre avec Frédéric Adda, Directeur de accorhotels.com.

1-Quelle est la vision mobile du groupe Accor ?

Avec la forte accélération de l’Internet mobile et du m-commerce, Accor a décidé, début 2008, de se doter d’une version mobile de son site web accorhotels.com en suivant les best practices de chacun des deux supports : attractivité des prix, ergonomie, simplicité d’utilisation, fonctionnalités pratiques, etc.
Nous sommes en effet persuadés que le mobile représente de nombreux avantages que nous pouvons classer en différentes catégories selon la cible :

  • pour nos clients finaux, la possibilité de réserver rapidement et de façon sécurisée un hôtel depuis leur téléphone portable dans des conditions similaires au web puisque l’on retrouve toutes nos marques et tous nos hôtels dans les pays où nous sommes présents.
  • pour le Groupe, le développement d’un nouveau canal de vente, novateur et touchant une cible de plus en plus large.

Ainsi, au même titre que le Web il y a quinze ans, le mobile s’impose peu à peu comme un secteur incontournable : ne pas appartenir à la famille des « early adopters » de ce secteur pourrait nous faire passer à côté de belles opportunités business.

2-Décrivez-nous vos services mobiles ?

Aujourd’hui, on retrouve sur les sites mobiles les principales fonctionnalités que les clients attendent d’un portail hôtelier comme accorhotels.com : recherche d’hôtel efficace, proposition de différents tarifs et promotions intéressantes et réservation 100% sécurisée.
Cette simplicité apparente est indispensable car les utilisateurs cherchent avant tout un service rapide lorsqu’ils sont en situation de mobilité. Par conséquent, proposer sur le site mobile autant de contenus que sur le site web nous paraîtrait contre-productif.
Adossées à ces services « de base », on trouve également des fonctionnalités pratiques propres au mobile comme la géolocalisation qui s’avère être particulièrement prisée par les mobinautes et spécialement utile lorsque l’on cherche l’itinéraire vers son hôtel dans une ville inconnue ou que l’on souhaite réserver une chambre à la dernière minute près de l’endroit où l’on se trouve.

3-Grâce à vos services mobiles, se dégage t-il déjà un profil de mobinaute ?

Nous n’avons pas encore suffisamment de recul à ce stade de notre courbe d’expérience de ce nouveau média.

4-Quelle est la part que représentent les mobinautes vs les internautes ?

Du fait de la nouveauté des services mobiles et du trafic très important sur le web, la proportion mobinautes vs internautes dans le trafic global de accorhotels.com est, à ce jour, encore très marginale.

5-Des promotions réservées au mobile pour vous différencier du web ?

Notre politique tarifaire est très transparente : toutes nos offres et promotions sont accessibles sur tous nos canaux de distribution.

6-Quelles sont les promotions en cours et à venir ?

Toutes les promotions proposées sur notre site web accorhotels.com sont accessibles sur le site mobile. Par exemple les « Early bookings » (tarif réduit pour les clients réservant et payant à l’avance) ou les « Hotdeals » (promotions de dernière minute sur le mois en cours).

7-Que pensez-vous des autres technologies mobile comme l'iPhone ou le flashcode ?

L’iPhone est un véritable phénomène sur le marché des terminaux mobiles et, compte tenu de son importante démocratisation et des perspectives business qu’il laisse entrevoir, nous avons lancé le développement d’une application accorhotels. Nous sommes en effet convaincus que le nombre des iPhonautes va continuer d’augmenter et le terminal de s’améliorer (comme le prouve la sortie récente de la 3ème version du terminal et du nouvel OS il y a quelques semaines). Même si nous n’en sommes qu’à la phase de conception, cette application se voudra pratique, ludique et surtout ultra simple afin que même les moins jeunes (qui vont de plus en plus vers le mobile) ou les moins aguerris aux dernières technologies puissent bénéficier de nos services.
Concernant le flashcode, l’idée nous paraît également intéressante mais nous devons encore creuser les usages les plus pertinents que nous pourrions faire de cette technologie afin d’en tirer le meilleur pour nos clients.
A plus long terme, le Groupe réfléchit également aux applications mobiles directement utilisables dans nos hôtels.

Merci Frédéric Adda.

Source Orange kiosque.

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